mercredi 29 avril 2009
Le masque
jeudi 23 avril 2009
Pour elle!
lundi 13 avril 2009
Un discours que j'avais prononcé
De vous tous qui constituez l’ossature de cette assistance je requiers une attention soutenue.
Mesdames, Messieurs,
Il m’échet une joie immense en ayant l’opportunité d’être ici, à l’instar de vous, pour prendre part à la cérémonie nuptiale de deux personnes spéciales. Ce sentiment inénarrable, je le partage avec Madame ---------------------------- sur qui le dévolu a été jeté pour être la marraine à côté de moi. Et nous sommes heureux d’être les témoins principaux de ce si grand engagement.
Le mariage, il m’importe de vous le rappeler, fait partie des 3 grandes institutions établies par Dieu pendant la création. Il est tellement important que de lui est issue la famille qui en est la troisième. En raison de sa grande valeur, il est demandé que le mariage soit honoré de tous, et exempt de toute souillure; car il est de nature à influencer le sort réservé à l’homme qui se perçoit comme « être de chair et de sang, contradictoire et passionné, limité dans ses actes et infini dans ses aspirations », comme le reconnaît Jean Pigasse dans son livre « les 7 porte du futur ». Aussi s’inscrit-il dans le cadre des trois grandes et seules bénédictions proclamées par le Tout-puissant lors de la fondation du monde.
Il est une chose que je dois vite souligner, c’est le travail du tentateur par rapport à cette noble institution. Ce dernier cherche toujours à y jeter de la confusion de manière à porter les gens bénis de l’Eternel à ne pas s’y embarquer. Nonobstant tout, mes chers filleux, vous êtes appelés à tenir bon, et vous serez gratifiés.
Ils sont nombreux, les obstacles que vous aurez à surmonter au cours de votre vie conjugale. Toutefois, sachez que le ciel est avec vous, et il permettra que vous ayez les ressources nécessaires pour battre ces ténèbres afin que celles-ci puissent se transformer en lumière. Ainsi, votre vie à deux constituera une phare destinée à éclairer toutes les jeunes familles en difficultés, les familles recomposées, les familles monoparentales, voire les couples brisés en un seul coup de tonnerre. Malgré vents et marrées, brillez. Brillez dès aujourd’hui dans le dessein d’aider les couples en péril à reprendre le goût de vivre, et les célibataires à abandonner leur vie de débauche.
Par ailleurs, par le choix de bien faire aujourd’hui en adoptant la plus ancienne des institutions établies par Dieu, vous êtes en train de vous attirer la bénédiction divine. Car, c’est le Seigneur qui, dans l’âge de l’innocence, avait proclamé la bénédiction à l’homme et à la femme, en les unissant respectivement comme époux et épouse. Il leur avait dit : « C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère dans l’objectif de devenir une seule chair ». Cette union légitime, comme la vôtre donna lieu à la famille. Ce qui vous conférerait une grande responsabilité, puisque la famille est avant tout le « lieu de référence principal dans lequel les enfants puisent leurs ressources essentielles pour se développer. Elle est à l’origine de la première synchronie, qui provient de la manière d’être bercé, pris dans les bras, transporté et se manifeste dans le sourire, les regards et dans les échanges sociaux ».
Pour parvenir à jouer ce rôle que vous impose votre mariage, vous avez besoin de vous revêtir de toutes les armes spirituelles, notamment la loi de Dieu, qui est l’accomplissement du véritable amour.
dimanche 12 avril 2009
Tranche d'histoire des Haïtiens
Quand les héros africains (noirs) débarquaient en Amérique.-
Après une si longue et funeste traversée transatlantique, les nègres, enlevés de leur terre natale, débarquaient en Amérique où ils étaient joyeusement reçus. Les grandes tribulations liées à leur voyage étaient peu cruelles comparativement aux souffrances qui les attendaient. Dépendamment de la température de l’ère, on leur offrit à leur arrivée des vêtements décents, conçus dans un tissu de laine grossier bleu ou blanc, fabriqué en Europe, ou des vêtements légers. Aussi accorda-t-on à ces malheureux une aubaine de “bain” devant les mettre prêts à recevoir la visite des hommes et femmes d’affaire de Saint-Domingue, qui se seraient intéressés à eux. Ordinairement leur répartition se faisait par le commissaire – priseur suite à son inspection. En voici un modèle y relatif selon le rapport d’un ancien esclave: les nègres étaient disposés en plusieurs groupes distincts, certains individuellement et d’autres par groupe de quinze ou vingt. Ceux qui avaient été mis séparément devaient être vendus comme domestiques en ville et avaient été choisis parmi les plus jeunes et parmi ceux qui avaient l’air très intelligent. Les groupes plus nombreux étaient destinés à la campagne, c’est-à-dire comme “bras de champ”.
Peu de temps après la répartition et l’annonce de vente, des colons blancs des deux sexes se présentaient au lieu indiqué à cet effet. Avec beaucoup de sang froid et une attitude de bons capitalistes, les femmes blanches circulaient entre les divers groupes de Nègres, les examinant et tâtant les membres. Ainsi commença la transaction infâme qui dura longtemps. Les prix varièrent de 250 à 450 dollars par tête. L’activité était tellement lucrative que de nombreuses voix autorisées de l’Europe s’élevaient grandement pour l’encourager. L’intendant des îles du vent, M.Hurson, écrit au Ministre: “Les nègres sont ici, pour la culture des terres, d’une nécessité aussi absolue que la farine pour faire le pain ou la toile pour faire des chemises”. Et un ministre anglais a relaté: “Jamais je ne permettrai que les colonies restreignent ou découragent sous quelque forme que ce soit un commerce aussi avantageux pour la nation.” Le 30 décembre 1762, la chambre du commerce de la Rochelle écrivait au Duc de Choiseul ce qui suit: “…. La traître des noirs est même aujourd’hui, l’unique moyen qui nous reste de réparer les malheurs de la guerre …”
Au moment de la disposition de vente, le commissaire – priseur, accompagné de ses agents, de concert avec le capitaine du négrier, prit le soin d’éviter de concentrer en un seul groupe des africains venant d’une même tribu. Ce, dans le but de les isoler pour contenir toute éventuelle révolte concertée compte tenu des expériences faites avec certaines cargaisons où ils ne manquaient pas de massacrer tous les membres de l’équipage au for de la chaîne.
Les esclaves – une fois vendus après avoir été bien auscultés de la tête aux pieds – n’étaient pas immédiatement affectés au poste. Un espace de temps était alloué pour leur prodiguer des notions de “base” du christianisme avec l’objectif de les faire voir la nécessité de servir sans murmure (ordre divin !). En plus, durant cet intervalle, des rudiments linguistiques leur ont été communiqués pour faciliter le contact. A cette phase, l’esclave ne devait pas être bien traité. On se le rappelle, les Jésuites furent expulsés de Saint-Domingue pour avoir donné un traitement humain aux nègres.
Les pédagogues blancs qui avaient à prendre en charge les esclaves n’étaient autorisés qu’à partager avec eux les portions d’écriture de nature à les tenir dans la soumission. Par exemple, dans le chapitre VI du livre des Ephésiens, il était formellement interdit de considérer le verset 9 qui se lit comme suit: “ Et vous, maîtres, agissez de même à leur égard, et abstenez-vous de menaces, sachant que leur Dieu et le vôtre est dans les cieux, et que devant lui il n’y a point d’acception de personne.” Pourtant, il fallait nécessairement lire les versets 5, 6, 7 et 8 du même chapitre: “Serviteurs, Obéissez à vos maîtres selon la chair, avec crainte et tremblement, dans la simplicité de votre coeur comme à Christ, non pas seulement sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes, mais comme des serviteurs de Christ, qui font de bon cœur la volonté de Dieu. Servez-les avec empressement, comme servant le Seigneur et non des hommes, sachant que chacun, soit esclave, soit libre, recevra du Seigneur selon ce qu’il aura fait de bien. ”
Servir son maître avec un statut d’esclave est un devoir sacré. Pour ce, on ne devait pas s’y opposer car en agissant ainsi, on ne fait qu’attirer sur soi-même la condamnation divine, dit le prêtre qui s’appuyait sur les deux premiers versets du livre adressé aux Romains dans le chapitre treize (13): Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C’est pourquoi celui qui s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes”. Aussi, le pédagogue avait pour mission de les faire savoir qu’en dehors du châtiment divin qui leur est réservé s’ils commettent une faute, ils seront punis sévèrement. Lisons les versets 3, 4, et 5 du même chapitre: “Ce n’est pas pour une bonne raison, c’est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l’autorité? Fais le bien, et tu auras son approbation. Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains; car ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait mal. Il est donc nécessaire d’être soumis, non seulement par crainte de la punition, mais encore pour motif de conscience. ”
Suite au travail minutieux réalisé visant à déshumaniser l’esclave davantage, celui-ci a reçu le baptême, et a été conduit à sa case infernale pour entamer sa pénible vie. Il y a trouvé une structure organisationnelle bien établie contenant en grande partie de la canne pour le bonheur des maîtres et du fouet pour son propre malheur. Ce que Massillon Coicou exprima au nom personnel de l’esclave:
“Dieu m’a condamné, le sort doit me poursuivre
De mes pleurs, de mon sang, il faut que tout s’enivre.”
La vie de l’esclave comptait peu puisqu’en terme de valeur réelle, pour le colon, un nègre ne valait pas mieux qu’un animal. En témoigne la réponse donnée à deux demoiselles, arrivant de la France, se plaignirent de la nudité des jeunes nègres qui servaient à table et des négrillons: “Pourquoi ne demandez-vous pas aussi d’habiller nos vaches, nos mulets et nos chiens.” Les maîtres étaient bien donc prêts à exterminer de la surface de la terre un nègre ou une négresse pour une bête quelconque. Un esclave de l’habitation de Desdunes était contraint d’aller se quereller contre un caïman en vue d’arracher un mouton de sa guêle.
Dans une autobiographie, Marie Prince, une ancienne esclave, a rapporté une tragique scène dont elle était témoin: “La pauvre Hetty, une compagne à moi, était très bonne à mon égard et j’avais pris l’habitude de l’appeler “ma tante”. Mais elle menait une vie extrêmement pénible et sa mort fut hâtée par l’atroce châtiment que lui infligea mon maître pendant sa grossesse. Voilà comment cela arriva. Une des vaches avait arraché sa corde du pieu où Hetty l’avait attachée et s’échappa. Mon maître se mit dans une colère terrible et ordonna que la pauvre créature soit entièrement déshabillée sans tenir compte de sa grossesse, et attachée toute nue à un arbre de la cour. Puis il se mit à la fouetter de toutes ses forces, utilisait à la fois le fouet et le cuir jusqu’à ce qu’elle soit baignée de sang. Il se reposa puis il se remit à la battre à plusieurs reprises. Elle poussait des cris terribles. Il en résulta que la pauvre Hetty accoucha avant terme et après un travail pénible, donna naissance à un enfant mort-né. Elle sembla se rétablir après ses couches à tel point que le maître et la maîtresse la fouettèrent par la suite. Mais elle ne retrouva jamais sa vigueur passée. Sous peu, son corps et ses membres enflèrent énormément et il fallait l’allonger sur une natte dans la cuisine jusqu’à ce que les boursouflures de son corps éclatassent et qu’elle mourût …
”
Producteur dépourvu de tout moyen de production, l’esclave abruti s’attachait au service d’un propriétaire (blanc ou affranchi) exerçant sur lui le droit de vie et de mort sans bénéficier d’aucun encadrement, il a pu trouver de ses propres ressources naturelles la force morale pour s’engager âprement dans la construction d’une terre qui ne lui a offert rien. Partout le colon s’enrichit à partir d’une main d’œuvre servile qui tendait à disparaître au fur et à mesure sous l’effet des pratiques autoritaristes et impitoyables [du maître].
Eu égard à cette réalité, les colons quelle que soit leur couleur, envisageaient des mesures violentes dont l’objectif était de déconcentrer les travailleurs noirs. Contre ces derniers, et dans le but de maintenir le système esclavagiste, toute forme d’entente était recherchée. Ainsi s’écria Vincent Ogé au club Massiac: “Si l’on ne prend pas les mesures les plus efficaces, si la fermeté, le courage, la constance ne nous unissent pas tous; si nous ne nous réunissons pas vite en faisceau toutes nos lumières, tous nos efforts; si nous sommeillons un instant au bord de l’abîme, frémissons de notre réveil. Voilà nos terres envahies, les objets de notre industrie ravagés, nos foyers incendiés; voilà l’esclave qui lève l’étendard de la révolte. Les îles ne sont qu’un vaste et funeste embrasement, le commerce est anéanti, la France reçoit une plaie mortelle, une multitude d’honnêtes citoyens sont appauvris et ruinés, nous perdons tout.”
En dépit de leur divergence de couleur, les planteurs blancs et affranchis concevaient de la même façon: des machines qui devaient donner des rendements dans un espace de temps très court, pour être enfin jetées hors du camp colonial. Nonobstant cette vision qu’on avait des nègres, grâce à leur travail impayé, Saint-Domingue fournissait la moitié du sucre consommé dans le monde. Au cours de la période allant de 1783 à 1789, 763 des navires laissèrent le port de la partie française de l’île avec 931.171.513 livres de sucre brut et 70.227.708 livres de sucre blanc. A cet égard, les français étaient sans rivaux. Aussi reconnaît-on que, avec le mépris de la vie des noirs, la valeur marchande de Saint-Domingue dépassait largement ce que les autres colonies de la zone, même dans une addition, pouvaient fournir.
Pendant toute la période florissante où Saint-Domingue alimentait à la France du sucre et du coton nécessaires aux filatures. On assistait lamentablement à l’imposition physique et mentale des colons aux dépens des esclaves. En témoignent les conditions matérielles de vie de ces derniers: “A peine les nourrissait-on, sept ou huit patates étaient la ration quotidienne qu’ils recevaient du propriétaire. Beaucoup se levaient la nuit pour marronner les vivres, et lorsqu’ils étaient découverts, ils étaient taillés (fouettés).” A ce sujet Malenfant rapportait: “Que de fois, j’ai vu à l’instant du déjeuner les noirs ne pas avoir une patate et rester sans manger. Cela arrivait sur presque toutes les habitations à sucre lorsque les pièces à vivres ne fournissaient pas suffisamment.” L’esclave était tellement abêti qu’il cautionnait lui-même les traitements qui lui ont été donnés sans s’en rendre compte. “ou bat mwen lè mwen pa travay, mwen bat mule lè li pa mache, se nèg mwen.” Telle a été la déclaration de l’un d’entre les nègres domingois.
Par dessus de toutes les peines déshumanisantes qu’avaient subies les bêtes de somme – les animaux utiles – les esclaves dociles, aucune structure sanitaire n’a été mise en place. Par exemple, pour éviter l’inflammation des plaies et la gangrène, pouvant provenir du sévissement corporel, on les frottait avec du jus de citron, du sel ou du piment. Leur santé a été surtout prise en charge par des nègres et/ou négresses ayant certaines connaissances maîtrisées depuis l’Afrique. Parmi ces auxiliaires de fait, nous retenons les noms de Zénobie et Ursule sa fille chez les Bérard dans l’Artibonite où pratiquement les esclaves étaient plus ou moins traités avec une certaine humanité, et Marie Bouquemment chez les Bossard à Dondon.
En dehors du non-investissement dans le domaine de la santé, certains maîtres, sans l’avoir peut-être su, provoquaient la maladie de leurs serviteurs, en les privant de ce qui leur a été le plus cher: eau. Au sujet de cet élément, Moreau de Saint Méry a pris le soin d’écrire: “la propreté est un des caractères des nègres, et singulièrement des femmes. Elles recherchent l’eau sans cesse, et lors même qu’elles ne sont réduites à n’avoir que des vêtements malpropres, leur corps est fréquemment plongé dans le bain d’une eau vive et courante; a moins qu’elles ne soient forcées de se contenter de l’eau pluviale qu’elles ont recueillie ou que des puits leur donnent.”
L’histoire se souviendra somme toute des noms de Mr Chabannes et de Mr Robert, tous deux chirurgiens de profession, qui prodiguaient si peu dans l’ouest des services médicaux auxquels les esclaves avaient accès pour deux gourdins. Il nous faut en revanche souligner que cette prise en charge, nonobstant les frais versés, coûtait et aux médecins et aux nègres l’humiliation, en ce sens que celle-là n’a pas eu lieu à la manière dont on le faisait aux blancs et qu’elle a réduit le nombre des patients de la catégorie blanche. Car les nègres, rapporte Père Labat, ne sont que des machines dont les ressors ne doivent pas être remontés.
Qui peut donner la vie éternelle ?
Cette importante question a toujours fait l’objet d’investigation de tous les serviteurs approuvés de Dieu. C’est le psalmiste David qui, dans le psaume 133, a dit sans masquer les mots : « C’est là que l’Eternel envoie la bénédiction et la vie pour l’éternité. » Celle-ci sera donnée en fonction de la manière dont nous gérons notre relation avec le sang versé de notre Seigneur Jésus-Christ. Plusieurs centaines d’années après, le Messie, lui-même, à travers l’évangile de Jean (Apôtre), a relaté : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.»
La vie éternelle qui est la plus grande récompense que l’homme puisse obtenir de la part de l’Eternel sera octroyée à ceux-là qui lui sont semblables. Cette ressemblance doit être dans tous les domaines. Pour que l’être humain puisse y parvenir, il lui faut se servir d’une substance qui, elle-même, détient toutes les propriétés que l’on retrouve en Dieu. En dehors de Jésus-Christ qui est l’image du Père invisible, il n’y que le décalogue, communément appelé Loi de Dieu, qui renferme les principaux caractères divins. En voici quelques-uns :
1- Dieu est parfait, et la loi est parfaite.
Matthieu 5 v 48 : Soyez donc parfaits comme votre Père est parfait.
Psaumes 19 v 8 : La loi de l’Èternel est parfaite, elle restaure l’âme…
Jacques 1 v 25 : Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré…
2- Dieu est saint, et la loi est sainte.
Esaïe 6 v 3 : Ils (les séraphins) criaient l’un à l’autre : Saint, saint, saint est l’Èternel des armées !
Romains 7 v 12 : La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.
3- Dieu est Esprit, et la loi est spirituelle.
Jean 4 v 24 : Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité.
Romains 7 v 14 : Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle…
4- Dieu est amour, et la loi est amour.
1 Jean 4 v 8 : Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour.
Romains 13 v 10 : L’amour ne fait point de mal au prochain : l’amour est donc l’accomplissement de la loi.
5- Dieu est juste, et la loi est juste.
1 Jean 2 v 28 et 29 : Si vous savez qu’il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de lui.
Psaumes 119 v 172 : Que ma langue chante ta parole ! Car tes commandements sont justes.
6- Dieu est pur, et la loi est pure.
Jean 3 v 3 : Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même (Dieu) est pur.
Psaumes 19 v 19 : … Les commandements de l’Èternel sont purs, ils éclairent les yeux.
7- Dieu est lumière, et la loi est aussi lumière.
Jacques 1 v 17 : Toute gràce excellente et tout don parfait descndent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation.
Psaumes 119 v 105 : Ta parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier.
Peut-on observer les commandements de Dieu aujourd'hui?
Peut-on observer dans ce siècle les commandements de Dieu ?
Nul n’a besoin d’être un bon observateur pour réaliser que nous vivons actuellement dans un monde où les valeurs semblent avoir perdu leur vrai sens : n’importe qui peut se permettre de faire n’importe quoi n’importe comment et n’importe où. Par l’entremise de l’apôtre Paul, le Père nous en avait donné l’avertissement (2 Timothée 3 v 1 à 7). En dépit de tout, la bible nous a conseillés de ne pas nous conformer au siècle présent, mais d’être transformés par le renouvellement de l’intelligence (Romains 12 v 2).
Parallèlement à ce monde à l’état de dégénérescence, Dieu se met à chercher un peuple provenant de toute part pour former son peuple. Jérémie 3 v 14 : « Revenez, enfants rebelles, dit l’Eternel; car je suis votre maître. Je vous prendrai un d’une ville, deux d’une famille, et je vous ramènerai en Sion. Je vous donnerai des bergers selon mon cœur, et ils vous paîtront avec sagesse et intelligence.» C’est ce que Jacques, dans la conférence de Jérusalem, soutint lorsqu’il dit (Actes 15 v 14): « Hommes frères, écoutez-moi ! Simon a raconté comment Dieu a d’abord jeté les regards sur les nations pour choisir du milieu d’elles un peuple qui portât son nom. »
Au milieu des nations perverties, il est d’avis que Dieu a un peuple (1 Pierre 2 v 9) sur lequel il peut compter. C’est en ce groupe racheté par le sang précieux de son Fils (1 Corinthiens 6 v 20) que le Père a fait habiter son Esprit (1 Corinthiens 3 v 16), et où lui et le Seigneur Jésus-Christ établissent leur demeure. En témoigne Jean 14 v 23 : « Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure à lui.»
Comme bénéficiaire de l’amour de Dieu, ce peuple choisi est appelé à lui prouver son amour (1 Jean 4 v 19) à travers un mode de vie fondé sur la pratique de la parole de Dieu, et cela en tout moment (Romains 8 v 35 à 39). Or, comme il est dit dans 1 Jean 5 v 3, « l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde, c’est notre foi », tous ceux qui font partie du registre des fils de Dieu ne sont pas si faibles pour ne pas pouvoir mettre en application les commandements de Dieu et les prescriptions de notre Seigneur Jésus-Christ. A cet effet, Dieu, se servant de la voix de Moïse, dit au peuple d’Israël (Deutéronome 30 v 11 à 14: « Ce commandement que je te prescris aujourd’hui n’est certainement point au-dessus de tes forces et hors de ta portée. Il n’est pas dans le ciel, pour que tu dises: Qui montera pour nous au ciel et nous l’ira chercher, qui nous le fera entendre, afin que nous le mettions en pratique ? C’est une chose, au contraire, qui est tout près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur, afin que tu la mettes en pratique.»
samedi 11 avril 2009
Il y a de profit dans cet investissement...
Les commandements de Dieu (Exode 20 v 3 à 17) qui nous permettent de connaître Dieu, Jésus-Christ et sa volonté ne sont entre autre que la vie éternelle (Jean 12 v 50). L’application du décalogue implique une éternité garantie, c’est ce que l’apôtre Jean a bien expliqué, lorsqu’il a dit (1 Jean 2 v 17) : « Le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. » N’est-ce pas ça que nous disions tantôt ?
Dans un entretien avec le jeune homme riche, le Seigneur a déclaré ce qui suit : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements.» (Matthieu 19 v 17). Alors, Il est donc important de signaler qu’il n’y a de vie éternelle en dehors de l’observation des commandements de Dieu. Car la circoncision n’est rien, l’incirconcision n’est rien; mais l’observation des commandements de Dieu est tout (1Corinthien 7 v 19).
Il importe de savoir que, en ce qui a trait à l’observation, aucune démagogie ne sera tolérée du Très-Haut ; car chacun sera évalué en fonction de ses œuvres (Romain 2 v 12 à 16 / Proverbes 28 v 9). C’est dans le dessein de ne pas avoir à faire face à une fatale déception que la bible nous a légué le témoignage que Dieu a rendu au sujet de David (Actes 13 v 22). Car ce serviteur ne cherchait pas à avoir l’aval des siens pour mettre en application des commandements de Dieu. Psaumes 119 v 60 : « Je me hâte, je ne diffère point d’observer tes commandements.»
Par rapport à cette importante affaire, les apôtres, Pierre et Jean, ne passaient par quatre chemins pour déclarer en présence des autorités humaines de l’époque : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes» (Actes 5 v 29). Quant à Paul, cette conviction a été exprimée face aux hommes et dans tous les domaines de la vie (Romains 8 v 35 à 39).
Pour avoir accès à cette vie sans fin, il ne s’agit pas à nous de mettre en application les commandements désirés ou ceux qui nous paraissent intéressants, mais d’observer tout le décalogue (Jacques 2 v 10). Ajouté à cela, nous devons appliquer les prescriptions de notre Seigneur Jésus : Ce qui renforcera notre foi en celui-ci afin que nous rendions partout son témoignage. Lisons Jean 15 v 10 et 14; 12 v 48 à 50; 14 v 15. Aussi doit-on souligner que, comme on l’a relaté plus haut, quiconque observe les commandements de Dieu est aimé de Dieu et de son Fils, entre autre connu de ses deux êtres suprêmes (Jean 14 v 21; Galates 4 v 8 et 9) qui ont la toute puissance d’accorder ou non la vie éternelle (Romains 2 v 1 à 11).
dimanche 22 mars 2009
Ma merveilleuse terre.-
Lien entre l'alcool et le décrochage scolaire
A travers une autre étude mettant accent sur les faits saillants reliés à cette même pratique, il est fait mention que 71% des élèves du niveau secondaire ont révélé avoir consommé de l’alcool au moins une au cours des 12 mois précédant l’enquête. Un peu plus de la moitié (51%) consomment de l’alcool de façon expérimentale (une fois pour essayer) ou occasionnelle (environ une fois par mois au moins), tandis que 20% sont des consommateurs réguliers (fréquence hebdomadaire). La consommation quotidienne d’alcool est un phénomène quasi inexistant chez les élèves québécois (4%).
1) Lecture de Schields et Allard (étude de Cousineau)
En 1995, l’une des rares études centrées sur le décrochage au Québec, effectuées par Cousineau, Schield et Allard, a mesuré la consommation de psychotropes de 352 décrocheurs de la région de Ste-Thérèse, et a comparé les résultats à ceux de 2918 élèves réguliers du secondaire de la même région. Tous les sujets étaient âgés de13 à 21 ans. Les résultats indiquent que, pour l’alcool, le taux de consommation des décrocheurs était comparable à celui des élèves réguliers, soit environ 75%.Par contre, ceux qui ont décroché entretenaient une relation beaucoup plus serrée avec les drogues illicites que les élèves réguliers. Pour les auteurs, au regard de leurs données, l’alcool n’aurait pas une incidence directe sur la décision d’abandonner l’école, mais c’est plutôt l’inverse qui est vraie. Ils ont évoqué plusieurs conclusions d’études faites par d’autres auteurs concernant le Québec, sous base d’un agrégat beaucoup plus grand, en vue de corroborer leurs résultats.
2) Lecture de McKirnan et Johnson
Une étude de McKirnan et Johnson s’est intéressée à la consommation de l’alcool et de drogues chez les ado décrocheurs. Leurs réponses à l’enquête ont été comparées à celles fournies par un échantillon d’élèves en milieu scolaire, recueillies lors d’une enquête non récente. Les résultats ont montré que le taux de consommation de l’alcool s’est avéré plus élevé chez les sujets de l’étude, avec un taux de consommation abusive de 41% (comparativement à 14% chez les jeunes du système scolaire). La conclusion tirée de l’analyse de ces deux auteurs a clairement montré qu’il existe un lien étroit entre l’alcool et le décrochage, si bien que certaines gens n’osent pas avancer que le premier alimente le second. D’autant plus que, à la fin du travail de Cousineau où l’alcool semblait vouloir être négligé, il est cité qu’un nombre significativement plus élevé de décrocheurs aux prises avec des problèmes personnels reliés aux dogues ou à l’alcool indiquent avoir augmenté leur consommation les trois ou quatre derniers mois avant leur abandon.
samedi 14 mars 2009
Changement en perspective!
dimanche 8 mars 2009
Fête des femmes: fête de la vie!
Fin de travail de session
samedi 28 février 2009
Mes cours de la session d'hiver 2009!
Par ailleurs, il y a un autre cours dispensé par M Gaudreau qui traine avec lui un ensemble de richesses. Il parait, certes, très simple, mais, combien, profond. L'expérimenté professeur qu'est M Jean Gaudreau utilise une méthodologie au moyen de laquelle il couvre toutes les facettes de développement de l'enfant. Personnellement, ses nombreuses réflexions m'ont porté à voir que l'enfant d'aujourd'hui n'est pas pareil à celui d'autrefois.
Pour ce qui a trait aux cours de M Bowen et de Mme Fasal, je n'ai que des mots d'éloge. Il s'agit de deux professeurs que seuls eux savent pourquoi ils sont comme ils sont. Et cela, pour le bien des étudiants. Ils ont une façon de faire permettant de tirer profit des textes de toutes sortes. Ils ne donnent pas des articles comme bon leur semble, mais plutôt des textes instructifs.
En somme, pour ma première session en deuxième cyle, le choix de mes cours m'a été très utile dans la mesure où ce sont de bonnes connaissances que je ne fais qu'accumuler.
lundi 16 février 2009
Agissons pour prévenir!
dans mon projet d'étude. Et cela sans condition.
dimanche 15 février 2009
Mes forces et mes faiblesses
Pour ce qui a trait à mes faiblesses, je puis évoquer mes lacunes en informatique et mon incapacité à gérer tout ce qui est "papier". Ce qui m'empêche particulièrement de bien conserver des documents importants en lien avec ma formation. De plus, j'ai souvent minimisé les difficultés qui se rattachent aux différentes tâches, si bien que je sous-évalue le temps à y consacrer. Et cela, au détriment de mon état physique, voire de mon état mental. Malgré mes faiblesses, je parviens à atteindre certains de mes objectifs. Cela est dû à plusieurs facteurs mettant en évidence mes forces. Dans ce registre, je suis en mesure de citer ma foi en Dieu, ma persévérance dans tout ce que j'entreprends, ma détermination, ma capacité de retention, ma capacité à respecter l'échéancier. Par-dessus tout, je sais comment exploiter mes ressources et mes sources de motivation. C'est le premier amour, amour de l’enseignement, qui m’a amené à être encore sur les bancs de l'école aujourd’hui, notamment en intervention éducative.
Parallèlement, il y a d’autres éléments qui m’ont influencé pour être là où je suis. Parmi eux, je retiens : mon emploi actuel (Intervenant en prévention à la toxico et aux jeux compulsifs) m’ayant conduit dans les écoles pour avoir contact avec ma clientèle de prédilection : les élèves; mes différents travaux que j’effectuais durant ma formation en lien avec l’enseignement. En plus, il y a mon frère cadet qui fait sa thèse de doctorat en France dans le domaine de la linguistique, ma conjointe qui est en éducation à la petite enfance, et les membres de ma congrégation religieuse (Corps de Christ), qui ne cessent pas de me motiver. Ainsi, j’ai réalisé qu’en étant au deuxième cycle je ne suis pas seul, étant donné tout ce monde qui m’encourage sans oublier, par-dessus tout, l’aide du Dieu qui est source de toutes connaissances et détenteur de l’intelligence et de la santé.
En dehors des entités susmentionnées qui me sont des sources de motivation pour étudier, il y a moi qui ai une grande volonté. Tandis que j’étudie à plein temps (4 super bons cours pour cette session), je travaille à plein temps à la Maison Jean Lapointe comme intervenant et suis conjoint, père de famille et co-responsable d’une assemblée chrétienne. Néanmoins, j’estime avoir du temps pour m’investir adéquatement dans tout ce à quoi je me suis engagé. Avec une directrice, Anne-Elizabeth Lapointe, on ne peut plus, compréhensive, et une conjointe sachant accepter de perdre dans le court terme pour pouvoir bien gagner à long terme, je suis en train de connaître l’une des plus importantes phases de ma vie. Celles-ci sont caractérisées par le succès au travail, aux études et par une ambiance de paix d’harmonie et d’amour à la maison et à l’église dont je suis membre.
samedi 7 février 2009
Déjà ... l'entrée de l'école d'un enfant!
De mes lectures, j'ai retenu que, déjà, l'entrée à l'école représente souvent une première véritable séparation pour l'enfant comme pour les parents. En tant qu'intervenants potentiels en milieu scolaire si nous ne le sommes pas encore, nous sommes appelés à savoir déjà que l'enfant doit s'adapter à un nouveau milieu de vie qui ne deviendra agréable et significatif à ses yeux que dans la mesure où il pourra y vivre des expériences positives. Les parents, comme les enseignants, ont un grand rôle à jouer pour l'aider à assimiler ce qu'il reçoit de ce milieu extérieur - le bon comme le moins bon - et à en retirer tout ce qui pourra lui être utile dans l'avenir. En effet, l'enfant doit apprendre à reconnaitre déjà que le bon et le moins bon cohabitent en toutes choses. Il importe de l'aider à voir et à accepter les forces et les faiblesses de toute personne, de toute situation ou de tout milieu.
samedi 31 janvier 2009
Il arrivera un jour où je m'y rendrai.
La patrie est la terre que nos ancêtres nous ont laissée en héritage.Je suis fier d'en avoir une, marquant l'histoire de la liberté dans le monde. Il m'est important de me former pour que je puisse apporter ma petite pierre à sa construction. Car chaque pays doit apprendre d'abord à compter sur ceux qui s'intéressent à lui,davantage sur ses enfants qui n'entendent pas le renier.
Pas seulement pour moi!
En débutant mon programme, surtout après avoir fait quelques cours, je me suis dit que j'y suis pour moi et pour ma famille. En plus de nous, j'entends le réaliser dans le dessein d'être utile non seulement à mon pays, mais également à ma terre d'accueil.
jeudi 22 janvier 2009
Lecture partagée.
Qu'il me soit permis de vous présenter d'une manière sommaire le résumé du chapitre 9 du livre "Les racines et les ailes" de Giovani Abignente. J'ai choisi de vous la partager parce qu'en elle j'ai essayé de questionner mes racines et mes ailes. Ce que tout le monde devrait, en principe, effectuer.
Tout au long de son exposé concernant le chapitre9, et à travers de différents points qui s’y rattachent, l’auteur a mis emphase sur la genèse de la famille, liée surtout à la rencontre de deux individus. Il n’en a perçu que le coté standard établi, suivant le modèle européen, comme si celle-là pouvait être seulement issue de la passion et/ou de l’amour. Pourtant, personne ne peut nier les odieuses affaires de viol, d’inceste, qui se répètent tant dans les pays du sud que dans ceux du nord, sans oublier le phénomène de « fuck friends » qui est très présent malheureusement au Québec. C’est vrai que, dépendamment du choix qu’auront fait les deux personnes qui se sont rapprochées, et s’il ne se pose aucun problème de fécondité, le couple peut donner naissance à un enfant. L’arrivée de celui-ci fait automatiquement de celui-là de nouveaux parents, bien qu’en réalité certaines fois le père puisse ne pas être identifié au point qu’il est courant d’entendre dire qu’ « une mère est chère et un père est rare ».
L’accueil du premier enfant est fonction du désir et des ressources dont disposent les parents. Il peut être en lien avec le sexe du bébé, d’autant plus que la médecine, peu de temps après la grossesse, a la capacité d’en faire la précision. Dès que celui-ci est connu, il fera ou non l’objet du rejet. Ces éléments sont observables et s’expriment à partir du degré de leur solidarité, de leurs modèles de parentalité appris et de leur soutien familial et social. Une fois mis au monde, l’enfant est appelé à bénéficier du support de ses parents pour être élevé dans une ambiance sécuritaire. Pour ce faire, ces derniers devraient, en plus de leur capacité matérielle, développer la faculté d’une bonne communication pour pouvoir établir un lien équilibré et enrichissant avec leur progéniture. Ce code communicationnel va s’instituer, par rapport aux bagages dont ils sont dépositaires, sans exclure les pères et/ou mère muets qui prodiguent des valeurs à leur enfant.
Il est à noter que la famille, premier centre de transmission de savoir, n’est pas la seule entité qui puisse inculquer des valeurs aux enfants. Car, en plus de celle-ci, il y a l’école (en commençant par la garderie), l’église, la société et les médias qui influent leur devenir et la formation de leur personnalité. Chacune de ces bases aura une incidence considérable tout au long de son existence. C’est peut-être dans ce sens que Rousseau, le philosophe français, eut à dire : « l’homme est né bon, c’est la société qui le corrompt.» Cette conception ne diffère pas trop de ce que la Bible a avancé ainsi: « Dieu a fait les hommes droits, mais ils ont cherché beaucoup de détours.» Donc, il est clair que l’être humain, en tant que tel, sera le quotient de tout ce qui lui sera inculqué. Ce qui nous portera à évoquer l’effet de différents systèmes, tels: ontosystème, microsystème, mésosystème, exosystème et macrosystème
Vous-êtes vous déjà demandé: Qu'est-ce que c'est un enfant?
C'est avec l'arrivée du premier enfant qu'un adulte a le statut de "parent". Ceci est ainsi perçu que beaucoup de gens dont l'auteur du livre "Les racines et les ailes" a avancé que l'enfant a donné naissance à ses parents. En effet, ils sont nombreux, ceux-là qui en auraient un ou plusieurs. Cependant, est-ce que les adultes, parents entre autres, se sont déjà posé la question suivante: Qu'est-ce que c'est un enfant? Personnellement, je peux avouer que j'avais pas la réponse ou ma réponse n'était pas adéquate. Pensons-y. j'y reviendrai en une prochaine session.
lundi 19 janvier 2009
J'y suis par vocation!
Fasciné par ce désir, j'avais commencé à faire de l'aide aux devoirs une fois que j'ai été au secondaire. Quel sentiment de joie avais-je éprouvé! En moi le petit poisson est devenu grand. Après avoir bouclé le cycle secondaire, j'ai été admis à l'École Normale Supérieure de mon pays où j'ai été formé comme enseignant. J'ai professé pendant sept ans avant de m'établir à Montréal depuis Juin 2006.
En dépit du fait que j'ai laissé la mère-patrie, j'ai pas rejeté ma vocation. Ici, j'ai passé mes deux premières années à faire de l'aide aux devoirs dans le seul souci de garder contact avec le milieu scolaire qui est celui de ma prédilection. C'est vrai que jusqu'à présent je n'enseigne pas d'une manière formelle, mais par ricochet j'y suis en présentant des ateliers de sensibilisation aux élèves presque chaque jour. Et cela, dans le cadre demon travail. Par ailleurs, j'ai la conviction que cette flamme ne s'éteindra point, puisque je suis en train de faire un DESS en Psychopédagogie: Question de continuer avec dynamisme et passion le domaine que j'aime tant.
samedi 17 janvier 2009
Quelques mots sur le soi
« On confond en général la connaissance de soi avec la connaissance de son moi conscient que l’on tient pour la personnalité. Quiconque dispose tant soi de conscience de son moi conscient croit naturellement, avec la plus grande assurance, se connaître. Or le moi ne connaît que ses propres contenus : il ignore tout de l’inconscient et de ses teneurs. L’individu mesure en général la connaissance qu’il a de lui-même à la moyenne de connaissance de soi qu’il rencontre chez les êtres qui constituent son environnement social, et non aux données psychiques réelles qui pour la plus grande part lui sont cachées. »
Le soi que l’on tend souvent à confondre avec son moi se définit comme la totalité de la psyché. Il renferme le conscient et l’inconscient qui, selon Jung, se complètent l’un l’autre : […] car le conscient et l’inconscient ne s’opposent pas nécessairement, mais se complètent réciproquement, formant à eux deux un ensemble, le Soi. Comme le laisse entendre cette définition, le Soi est une entité « sur-ordonnée » au Moi. Le Soi embrasse non seulement la psyché consciente, mais aussi la psyché inconsciente, et constitue de ce fait pour ainsi dire une personnalité plus ample que nous sommes aussi. (Jung, 1964a, p. 118.)
Cette partie inconsciente du soi fait de l’être humain une entité peu ou mal connue, si bien que chaque personne peut faire une lecture différente d’une seule personne. Dépendamment de qui il est question, on est capable de se donner une image qui n’est pas véritablement sienne. A cet effet, un personnage biblique dit : « Avec les juifs, je me fais juif, et avec les grecs, je me fais grec.» Sous un autre angle, on peut recourir au témoignage de John Bunyan, duquel je tire cet extrait :
« Mes voisins étaient émerveillés de ça, de ma grande conversion d’une impiété prodigieuse à quelquechose comme une bonne vie morale. Ils commencèrent donc à louer, à me recommander, et à dire bien de moi, devant moi et à mon insu… Lorsque je compris que c’étaient leurs paroles et leur opinion à mon égard, ça me plut beaucoup, car bien que je ne fusse encore rien qu’un pauvre hypocrite repeint, j’aimais cependant qu'on parle de moi comme quelqu'un qui était vraiment pieux. J’étais fier de ma piété, et, en vérité, je faisais tout ce que je faisais, soit pour être vu des hommes, soit pour qu’ils parlent en bien de moi.»
jeudi 15 janvier 2009
Le choix de la psychopédagogie
Ayant été franc envers moi, je me suis remis entre les mains des professionnels pour obtenir l'aide par rapport à mon choix. C'est ainsi que j'ai accepté de répondre aux 99 questions que m'a proposé Madame Solar. Les réponses fournies m'ont permis de voir enfin que c'est la psychopédagogie qui a la prépondérance à l'intérieur de moi. Donc, je m'y rue jusqu'à au moins la maitrise. Je reste convaincu que j'aurai à professer ce métier avec amour et dynamisme.
mercredi 14 janvier 2009
FICHE SIGNALÉTIQUE
Nom :GLAUDE Prénom : Norès
Programme d’études: DESS
Profil: Andragogie (formation d’adulte) Psychopédagogie Orthopédagogie
Formation 1er cycle : Bac par cumul (Int. Auprès des Jeunes, Toxicomanie et Santé mentale)
Expérience en éducation ou formation : 7 ans
Domaine(s) d’exercice : Enseignement et Education préventive
Clientèle : Jeunes du secondaire
Les 2 principaux problèmes observés en cours de pratique :
Manque d’intérêt de certains élèves d’une manière progressive / Essor de la toxicomanie chez les ados
Les 2 principaux défis qui se présentent à vous dans votre pratique professionnelle :
- Amener les élèves en perte d’intérêt à se ressaisir
- Innover en éducation
Les 3 principaux objectifs que vous visez en vous inscrivant dans ce programme :
- M’outiller pour pouvoir intervenir d’une manière structurée
- Parvenir à acquérir des connaissances pour enseigner au niveau post-secondaire
- Explorer le champ de l’intervention éducative tout en m’y performent
Thèmes d’intérêt : Apprentissage scolaire chez les jeunes en déficit d’attention
En ce début de candidature auriez-vous des craintes, des souhaits ou des attentes que vous aimeriez faire connaître ?
En quoi mes formations antérieures pourraient m’être utiles pour bien réussir mon gramme de deuxième cycle ?
Comment avez-vous pris connaissance de l’existence de ce programme ?
Sur le site de l’université de Montréal
Présentation
Suite à une licence en enseignement d'histoire et de géographie que j'avais obtenue dans mon pays d'origine auquel je me suis fortement attaché, j'y enseignais pendant plusieurs années au secondaire. Puis, je me suis établi ici à Montréal depuis plus de deux ans et demi. Là, j'ai fait un bac par cumul de trois certificats dont: Intervention auprès des jeunes, Toxicomanie et Santé mentale. Parallèlement, j'ai professé comme intervenant respectivement en santé mentale et toxicomanie. Voilà que je travaille dès septembre comme intervenant en prévention à la toxicomanie et aux jeux compulsifs en milieu scolaire.
Présentement je suis en train de faire un DESS en Intervention éducative. J'aurais pu être accepté en Maîtrise, mais j'ai ainsi procédé pour me donner la possibilité d'explorer le champ avant de me convaincre d'un choix bien spécifique. Car je suis vraiment intéressé par la psychopédagogie et l'andragogie tout en ayant un petit penchant pour l'ortopédagogie. C'est l'une des raisons pour laquelle je suis content d'avoir ce cours avec Madame Solar, qui, j'espère, m'aidera à bien m'orienter.
Pour finir, il m'importe de souligner que je suis père de famille. J'ai un garçon de 5 ans et demi, issu de ma conjointe que j'aime beaucoup. Nous formons tous trois une équipe solide.
mercredi 7 janvier 2009
Point de vue
Membres
Qui êtes-vous ?
- Norès GLAUDE
- Etre de chair et de sang, contradictoire et passionné, limité dans ses actes et infini dans ses aspirations, je suis un homme. Je sais bien partager le sourire, car je comprends fort bien que ceci ne coûte rien, mais apporte beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvir ceux qui le donnent.