jeudi 22 janvier 2009
Lecture partagée.
Qu'il me soit permis de vous présenter d'une manière sommaire le résumé du chapitre 9 du livre "Les racines et les ailes" de Giovani Abignente. J'ai choisi de vous la partager parce qu'en elle j'ai essayé de questionner mes racines et mes ailes. Ce que tout le monde devrait, en principe, effectuer.
Tout au long de son exposé concernant le chapitre9, et à travers de différents points qui s’y rattachent, l’auteur a mis emphase sur la genèse de la famille, liée surtout à la rencontre de deux individus. Il n’en a perçu que le coté standard établi, suivant le modèle européen, comme si celle-là pouvait être seulement issue de la passion et/ou de l’amour. Pourtant, personne ne peut nier les odieuses affaires de viol, d’inceste, qui se répètent tant dans les pays du sud que dans ceux du nord, sans oublier le phénomène de « fuck friends » qui est très présent malheureusement au Québec. C’est vrai que, dépendamment du choix qu’auront fait les deux personnes qui se sont rapprochées, et s’il ne se pose aucun problème de fécondité, le couple peut donner naissance à un enfant. L’arrivée de celui-ci fait automatiquement de celui-là de nouveaux parents, bien qu’en réalité certaines fois le père puisse ne pas être identifié au point qu’il est courant d’entendre dire qu’ « une mère est chère et un père est rare ».
L’accueil du premier enfant est fonction du désir et des ressources dont disposent les parents. Il peut être en lien avec le sexe du bébé, d’autant plus que la médecine, peu de temps après la grossesse, a la capacité d’en faire la précision. Dès que celui-ci est connu, il fera ou non l’objet du rejet. Ces éléments sont observables et s’expriment à partir du degré de leur solidarité, de leurs modèles de parentalité appris et de leur soutien familial et social. Une fois mis au monde, l’enfant est appelé à bénéficier du support de ses parents pour être élevé dans une ambiance sécuritaire. Pour ce faire, ces derniers devraient, en plus de leur capacité matérielle, développer la faculté d’une bonne communication pour pouvoir établir un lien équilibré et enrichissant avec leur progéniture. Ce code communicationnel va s’instituer, par rapport aux bagages dont ils sont dépositaires, sans exclure les pères et/ou mère muets qui prodiguent des valeurs à leur enfant.
Il est à noter que la famille, premier centre de transmission de savoir, n’est pas la seule entité qui puisse inculquer des valeurs aux enfants. Car, en plus de celle-ci, il y a l’école (en commençant par la garderie), l’église, la société et les médias qui influent leur devenir et la formation de leur personnalité. Chacune de ces bases aura une incidence considérable tout au long de son existence. C’est peut-être dans ce sens que Rousseau, le philosophe français, eut à dire : « l’homme est né bon, c’est la société qui le corrompt.» Cette conception ne diffère pas trop de ce que la Bible a avancé ainsi: « Dieu a fait les hommes droits, mais ils ont cherché beaucoup de détours.» Donc, il est clair que l’être humain, en tant que tel, sera le quotient de tout ce qui lui sera inculqué. Ce qui nous portera à évoquer l’effet de différents systèmes, tels: ontosystème, microsystème, mésosystème, exosystème et macrosystème
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- Etre de chair et de sang, contradictoire et passionné, limité dans ses actes et infini dans ses aspirations, je suis un homme. Je sais bien partager le sourire, car je comprends fort bien que ceci ne coûte rien, mais apporte beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvir ceux qui le donnent.
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