Educatrice de formation, elle ne cesse aucunement de me dire que j'y arriverai. C'est ainsi qu'avec ce sérum, je ne me sens jamais fatigué, quoi que je le sois. Oui, nous arriverons ... c'est que je réponds toujours à la femme qui me supporte
dans mon projet d'étude. Et cela sans condition.
dans mon projet d'étude. Et cela sans condition.
En lisant les résultats de l'étude sur le décrochage scolaire au québec, j'ai été traversé par un double sentiment entaché en quelquesorte d'une certaine contradiction. D'une part, je suis attristé, voire concerné, si bien que je me suis dit qu'il faudrait qu'ensemble on puisse oeuvrer afin de freiner la montée fulgurante de cette vague de décrocheurs. D'autre part, je m'estime heureux, comme je l'avais dit précédemment, pour vu que, malgré tout, je fasse partie du nombre de ceux-là qui étudient encore.
Par ailleurs, en tant que citoyen, je me sens interpellé si bien que je reviens d'en bas, mais avec la tête altière, pour poser quelques questions, telles:
Pourquoi est-ce qu'il y a autant d'immigrants dont les jeunes originaires de l'asie du Sud-est, qui décrochent?
Pourquoi est-ce qu'il y a autant de jeunes de la communauté noire créolophone qui abandonnent leurs études avant d'avoir atteint le secondaire 5?
Est-ce parce que tous ces jeunes n'ont pas trouvé de raisons valables pour développer à l'école leur sentiment d'appartenance ou est-ce parce qu'ils ne s'y sentent pas en sécurité ou traités en toute équité?
N'ayant pas moi-même des réponses à ces question, je me permets d'avancer qu'il ne s'agit pas là d'un groupe ethnique, mais plutôt de société. Alors, il revient à chacun de nous de faire quelque chose. Si non, c'est toout le monde qui va en payer les conséquences, car, comme a dit le proverbe, le changement d'herbage devrait en principe réjouir les veaux. Agissons pour prévenir!
C'est à travers elle que je suis parvenu à avoir une définition de l'amour. Je l'aime bien.
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