Pour réaliser que mon pays est l'un des plus merveilleux du monde, il me fallait le laisser. Dommage! Cela est aussi vrai pour d'autres compatriotes. Peut-être que c'est trop tard. Non, je dirais; car mieux vaut tard que jamais.
Ce pays, Haïti, je l'aime et le porte partout où je passe. C'est ce qui me permet de traverser les saisons hivernales dans un chaud que seul moi aurais peut-être le secret. En signe de reconnaissance, il va falloir que j'y retourne dans le dessein de me mettre à son service. Je l'aime profondément, pour tout ce qu'il m'a donné et continue à m'offrir, ne serait-ce qu'un bon café. Parlant de ce dernier, je me suis dit souvent qu'un bon café est celui qui est noir comme le diable, chaud comme l'enfer et sucré comme un baiser. Le baiser est-il réellement sucré?
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