dimanche 22 mars 2009

Ma merveilleuse terre.-

La terre d'Haïti, quoi qu'il arrive, est merveilleuse...

Pour réaliser que mon pays est l'un des plus merveilleux du monde, il me fallait le laisser. Dommage! Cela est aussi vrai pour d'autres compatriotes. Peut-être que c'est trop tard. Non, je dirais; car mieux vaut tard que jamais.
Ce pays, Haïti, je l'aime et le porte partout où je passe. C'est ce qui me permet de traverser les saisons hivernales dans un chaud que seul moi aurais peut-être le secret. En signe de reconnaissance, il va falloir que j'y retourne dans le dessein de me mettre à son service. Je l'aime profondément, pour tout ce qu'il m'a donné et continue à m'offrir, ne serait-ce qu'un bon café. Parlant de ce dernier, je me suis dit souvent qu'un bon café est celui qui est noir comme le diable, chaud comme l'enfer et sucré comme un baiser. Le baiser est-il réellement sucré?

Lien entre l'alcool et le décrochage scolaire


Une étude entreprise par Sophie Léonard, Marie-Eve et col a relaté que 12% des décrocheurs ont fait l’objet d’une condamnation au criminel pendant leur dernière année d’études, comparativement aux diplômés qui eux ont un taux de seulement de 3%. La consommation régulière d’alcool chez les décrocheurs tourne autour de 18% tandis que chez les diplômés elle se situe autour de moins de 7%.

A travers une autre étude mettant accent sur les faits saillants reliés à cette même pratique, il est fait mention que 71% des élèves du niveau secondaire ont révélé avoir consommé de l’alcool au moins une au cours des 12 mois précédant l’enquête. Un peu plus de la moitié (51%) consomment de l’alcool de façon expérimentale (une fois pour essayer) ou occasionnelle (environ une fois par mois au moins), tandis que 20% sont des consommateurs réguliers (fréquence hebdomadaire). La consommation quotidienne d’alcool est un phénomène quasi inexistant chez les élèves québécois (4%).


1) Lecture de Schields et Allard (étude de Cousineau)

En 1995, l’une des rares études centrées sur le décrochage au Québec, effectuées par Cousineau, Schield et Allard, a mesuré la consommation de psychotropes de 352 décrocheurs de la région de Ste-Thérèse, et a comparé les résultats à ceux de 2918 élèves réguliers du secondaire de la même région. Tous les sujets étaient âgés de13 à 21 ans. Les résultats indiquent que, pour l’alcool, le taux de consommation des décrocheurs était comparable à celui des élèves réguliers, soit environ 75%.Par contre, ceux qui ont décroché entretenaient une relation beaucoup plus serrée avec les drogues illicites que les élèves réguliers. Pour les auteurs, au regard de leurs données, l’alcool n’aurait pas une incidence directe sur la décision d’abandonner l’école, mais c’est plutôt l’inverse qui est vraie. Ils ont évoqué plusieurs conclusions d’études faites par d’autres auteurs concernant le Québec, sous base d’un agrégat beaucoup plus grand, en vue de corroborer leurs résultats.


2) Lecture de McKirnan et Johnson

Une étude de McKirnan et Johnson s’est intéressée à la consommation de l’alcool et de drogues chez les ado décrocheurs. Leurs réponses à l’enquête ont été comparées à celles fournies par un échantillon d’élèves en milieu scolaire, recueillies lors d’une enquête non récente. Les résultats ont montré que le taux de consommation de l’alcool s’est avéré plus élevé chez les sujets de l’étude, avec un taux de consommation abusive de 41% (comparativement à 14% chez les jeunes du système scolaire). La conclusion tirée de l’analyse de ces deux auteurs a clairement montré qu’il existe un lien étroit entre l’alcool et le décrochage, si bien que certaines gens n’osent pas avancer que le premier alimente le second. D’autant plus que, à la fin du travail de Cousineau où l’alcool semblait vouloir être négligé, il est cité qu’un nombre significativement plus élevé de décrocheurs aux prises avec des problèmes personnels reliés aux dogues ou à l’alcool indiquent avoir augmenté leur consommation les trois ou quatre derniers mois avant leur abandon.


Pour finir, il faut se demander si l'alcool et les autres drogues n'ont pas d'effets directs sur le décrochage scolaire dans le cadre des études récemment publiées?

samedi 14 mars 2009

Changement en perspective!


Au plus de désespoir, l'homme a besoin d'espérer et de croire plus profondément à la promesse qui lui a été faite, si ce n'est qu'une promesse!
C'était évident qu'à la suite de mon admission en D.E.S.S, j'avais en tête la maitrise devant aboutir de but en blanc à ... Cette semaine, ce passage va être effectif si le ciel me garde encore en vie. En d'autres termes, je serai en MED.


Il me faut, toutefois, avouer que le doctorat est devenu pour moi une sorte d'objectif à atteindre à moyen terme. Cela va être, cependant, difficile puisque je suis pas en MA.
Nonobstant tout, je reste convaincu que les conditions seront réunies pour que je réalise cet objectif. D'autant plus que je suis pas le seul concerné par ces études. En plus de ma famille immédiate, il y a l'église du Corps de Christ de Montréal (sise à 3140, Henri-Bourassa, fonctionnant tous les samedis) et mon pays qui sont en expectative. Voilà, pourquoi j'ai choisi une photo que j'avais prise, il y quelques années en Haïti, particulièrement dans mon département.
En ayant cet objectif en lien avec les besoins de la communauté noire créolophone, de ma terre d'accueil et de mon pays (Haiti), je sais que je me donne une charge de pression assez grande. Cependant, il est une leèon qui m'a été inculquée sur les bancs de l'école dans mon plus jeune âge:
Pour le pays, pour la patrie,
Mourir est beau!
Tout en espérant que ces paroles cesseront d'être paroles pour avoir leur application, je dis, avec la tête altière, qu'au plus profond de désespoir, l'homme a besoin d'espérer et de croire plus profondément à la promesse qui lui a été faite si ce n'est qu'une promesse.

dimanche 8 mars 2009

Fête des femmes: fête de la vie!



Elle est trop importante pour que le jour qui lui est dédié ne soit pas souligné. Il s'agit de la fête des femmes, le 8 mars: jour dont j'avais profité pour dire à une démoiselle que je suis intéressé à elle. Heureusement, elle avait compris qu'il ne fallait pas dédaigner un message qui provenait du plus profond de mon coeur. C'est ainsi que depuis 2000 on vit ensemble.
Elles sont nombreuses, les femmes à qui je destine mon message d'aujourd'hui, qui n'est entaché d'aucune couleur, pour vu qu'il soit issu du coeur. Car ce dernier, nous le savons, n'a pas de couleur palpable. Je m'en sers dans le seul objectif de dire à toutes les femmes de la surface terrestre, surtout à celles qui en souffrent et qui ont besoin d'un "Je t'aime"que je les aime. Donc, à chacune d'elles, je relasse: Je t'aime. Que ce "je t'aime" soit accueilli par vous toutes, mes collègues de l'université de Montréal.
En fin de compte, j'estime que les souffrances du temps présent, pour répéter la bible, ne sauraient être comparées à la réjouissance à venir. Par dessus tout, il m'est important de signaler ce qui suit:


La fête de l'amour qui est la meilleure

n'est pas celle célébrée en un seul jour;

car du temps et d'espace a besoin le coeur

pour dire à l'être aimé: Je t'aime à toujours!

Fin de travail de session


Les cours se donnent dans un seul et même but, mais ne se ressemblent pas. Il y en a qui sont plus attrayants, plus mouvants que d'autres. Cependant, il demeure vrai que chacun d'entre nous aura fait sa propre lecture pour en tirer profit en fonction de son degré d'investissement. Pour chacun des cours faits, j'aurais pu écrire plein de choses les unes plus intéressantes que d'autres comme j'ai été tenté de le faire dans ma note précédente.


Toutefois, le cours de Solar m'aura beaucoup marqué. Je ne l'aurais pas dit pas avant que je touche presqu'à la fin du travail de session y relatif. En plus de tout ce qui est informatique constituant mon point faible (le plus faible) durant cette période, ce cours m'a permis de prendre recul par rapport à ce que je suis en train de faire et ce que j'ai comme perspective. C'est comme un appareil photographique qui m'a si bien présenté ma propre image, peu importe ce que celle-ci projette réellement. Que j'en sois fier ou non!


En dehors du fait que ce cours aura l'incidence sur l'ensemble des cours déjà choisis ou ce sur quoi j'aurai jeté le dévolu, la compétence que j'y ai acquise me sera d'une très grande utilité dans tout ce que j'aurai entrepris. C'est une compétence qui est susceptible d'être appliquée dans ma sphère professionnelle. Qu'on l'aime ou non, ce cours reste le très bon point de départ de l'étude en deuxième cycle.

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Etre de chair et de sang, contradictoire et passionné, limité dans ses actes et infini dans ses aspirations, je suis un homme. Je sais bien partager le sourire, car je comprends fort bien que ceci ne coûte rien, mais apporte beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvir ceux qui le donnent.