samedi 28 février 2009

Mes cours de la session d'hiver 2009!

La séquence de ce jour d'hui va être exclusivement consacrée à ma réflexion relative aux différents cours que j'ai pendant la session d'hiver 2009. Je vous préviens de ne pas préoccuper du nombre de cours que j'ai, étant donné que je me suis adéquatement armé pour les faire. En effet, à l'instar de tous les étudiants en Intervention éducative, j'ai commencé par celui de Mme Solar, qui m'a permis de prendre de l'envol. C'est vrai qu'il demeure de loin le cours révélant le plus mes faiblesses. Cependant, ceci me rejoint davantage dans mes activités quotidiennes en m'inculquant les outils dont je me sers pour mes multiples activités, estudiantines, professionnelles et personnelles. De plus, ce cours intensif de quate séances m'a aidé à me découvrir en termes de ce que je souhaiterais professer véritablement.

Par ailleurs, il y a un autre cours dispensé par M Gaudreau qui traine avec lui un ensemble de richesses. Il parait, certes, très simple, mais, combien, profond. L'expérimenté professeur qu'est M Jean Gaudreau utilise une méthodologie au moyen de laquelle il couvre toutes les facettes de développement de l'enfant. Personnellement, ses nombreuses réflexions m'ont porté à voir que l'enfant d'aujourd'hui n'est pas pareil à celui d'autrefois.

Pour ce qui a trait aux cours de M Bowen et de Mme Fasal, je n'ai que des mots d'éloge. Il s'agit de deux professeurs que seuls eux savent pourquoi ils sont comme ils sont. Et cela, pour le bien des étudiants. Ils ont une façon de faire permettant de tirer profit des textes de toutes sortes. Ils ne donnent pas des articles comme bon leur semble, mais plutôt des textes instructifs.

En somme, pour ma première session en deuxième cyle, le choix de mes cours m'a été très utile dans la mesure où ce sont de bonnes connaissances que je ne fais qu'accumuler.

lundi 16 février 2009

Agissons pour prévenir!

Educatrice de formation, elle ne cesse aucunement de me dire que j'y arriverai. C'est ainsi qu'avec ce sérum, je ne me sens jamais fatigué, quoi que je le sois. Oui, nous arriverons ... c'est que je réponds toujours à la femme qui me supporte
dans mon projet d'étude. Et cela sans condition.
















En lisant les résultats de l'étude sur le décrochage scolaire au québec, j'ai été traversé par un double sentiment entaché en quelquesorte d'une certaine contradiction. D'une part, je suis attristé, voire concerné, si bien que je me suis dit qu'il faudrait qu'ensemble on puisse oeuvrer afin de freiner la montée fulgurante de cette vague de décrocheurs. D'autre part, je m'estime heureux, comme je l'avais dit précédemment, pour vu que, malgré tout, je fasse partie du nombre de ceux-là qui étudient encore.


Par ailleurs, en tant que citoyen, je me sens interpellé si bien que je reviens d'en bas, mais avec la tête altière, pour poser quelques questions, telles:


Pourquoi est-ce qu'il y a autant d'immigrants dont les jeunes originaires de l'asie du Sud-est, qui décrochent?


Pourquoi est-ce qu'il y a autant de jeunes de la communauté noire créolophone qui abandonnent leurs études avant d'avoir atteint le secondaire 5?


Est-ce parce que tous ces jeunes n'ont pas trouvé de raisons valables pour développer à l'école leur sentiment d'appartenance ou est-ce parce qu'ils ne s'y sentent pas en sécurité ou traités en toute équité?


N'ayant pas moi-même des réponses à ces question, je me permets d'avancer qu'il ne s'agit pas là d'un groupe ethnique, mais plutôt de société. Alors, il revient à chacun de nous de faire quelque chose. Si non, c'est toout le monde qui va en payer les conséquences, car, comme a dit le proverbe, le changement d'herbage devrait en principe réjouir les veaux. Agissons pour prévenir!



dimanche 15 février 2009

Mes forces et mes faiblesses


L’homme, étant un être complexe, difficile à être cerné que seul lui est en mesure de dire partiellement qui il est véritablement ou peut se montrer aux autres. Car, dans le domaine des Sciences sociales, il ne doit pas être pris pour une entité que les philosophes affubleraient à volonté. Mes enrichissantes expériences ont été pour la plupart une bonne façon d'apprendre en tout premier lieu sur moi. Elles m'ont permis de relever certaines de mes faiblesses et de mes forces, et surtout de pouvoir m'en servir afin que j'atteigne mes objectifs. Ces derniers sont bien nombreux, nonobstant mes moyens limités.

Pour ce qui a trait à mes faiblesses, je puis évoquer mes lacunes en informatique et mon incapacité à gérer tout ce qui est "papier". Ce qui m'empêche particulièrement de bien conserver des documents importants en lien avec ma formation. De plus, j'ai souvent minimisé les difficultés qui se rattachent aux différentes tâches, si bien que je sous-évalue le temps à y consacrer. Et cela, au détriment de mon état physique, voire de mon état mental. Malgré mes faiblesses, je parviens à atteindre certains de mes objectifs. Cela est dû à plusieurs facteurs mettant en évidence mes forces. Dans ce registre, je suis en mesure de citer ma foi en Dieu, ma persévérance dans tout ce que j'entreprends, ma détermination, ma capacité de retention, ma capacité à respecter l'échéancier. Par-dessus tout, je sais comment exploiter mes ressources et mes sources de motivation. C'est le premier amour, amour de l’enseignement, qui m’a amené à être encore sur les bancs de l'école aujourd’hui, notamment en intervention éducative.

Parallèlement, il y a d’autres éléments qui m’ont influencé pour être là où je suis. Parmi eux, je retiens : mon emploi actuel (Intervenant en prévention à la toxico et aux jeux compulsifs) m’ayant conduit dans les écoles pour avoir contact avec ma clientèle de prédilection : les élèves; mes différents travaux que j’effectuais durant ma formation en lien avec l’enseignement. En plus, il y a mon frère cadet qui fait sa thèse de doctorat en France dans le domaine de la linguistique, ma conjointe qui est en éducation à la petite enfance, et les membres de ma congrégation religieuse (Corps de Christ), qui ne cessent pas de me motiver. Ainsi, j’ai réalisé qu’en étant au deuxième cycle je ne suis pas seul, étant donné tout ce monde qui m’encourage sans oublier, par-dessus tout, l’aide du Dieu qui est source de toutes connaissances et détenteur de l’intelligence et de la santé.

En dehors des entités susmentionnées qui me sont des sources de motivation pour étudier, il y a moi qui ai une grande volonté. Tandis que j’étudie à plein temps (4 super bons cours pour cette session), je travaille à plein temps à la Maison Jean Lapointe comme intervenant et suis conjoint, père de famille et co-responsable d’une assemblée chrétienne. Néanmoins, j’estime avoir du temps pour m’investir adéquatement dans tout ce à quoi je me suis engagé. Avec une directrice, Anne-Elizabeth Lapointe, on ne peut plus, compréhensive, et une conjointe sachant accepter de perdre dans le court terme pour pouvoir bien gagner à long terme, je suis en train de connaître l’une des plus importantes phases de ma vie. Celles-ci sont caractérisées par le succès au travail, aux études et par une ambiance de paix d’harmonie et d’amour à la maison et à l’église dont je suis membre.

samedi 7 février 2009

Déjà ... l'entrée de l'école d'un enfant!


Déjà quelques semaines de cours avec de super bons professeurs qui font leur travail avec amour et dynamisme! Déjà, j'ai commencé à avoir un esprit critique beaucoup plus poussé, après avoir lu des textes et entendu des commentaires.

De mes lectures, j'ai retenu que, déjà, l'entrée à l'école représente souvent une première véritable séparation pour l'enfant comme pour les parents. En tant qu'intervenants potentiels en milieu scolaire si nous ne le sommes pas encore, nous sommes appelés à savoir déjà que l'enfant doit s'adapter à un nouveau milieu de vie qui ne deviendra agréable et significatif à ses yeux que dans la mesure où il pourra y vivre des expériences positives. Les parents, comme les enseignants, ont un grand rôle à jouer pour l'aider à assimiler ce qu'il reçoit de ce milieu extérieur - le bon comme le moins bon - et à en retirer tout ce qui pourra lui être utile dans l'avenir. En effet, l'enfant doit apprendre à reconnaitre déjà que le bon et le moins bon cohabitent en toutes choses. Il importe de l'aider à voir et à accepter les forces et les faiblesses de toute personne, de toute situation ou de tout milieu.

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Etre de chair et de sang, contradictoire et passionné, limité dans ses actes et infini dans ses aspirations, je suis un homme. Je sais bien partager le sourire, car je comprends fort bien que ceci ne coûte rien, mais apporte beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvir ceux qui le donnent.